« C’est ma deuxième maison » : un lieu de vie unique pour des femmes isolées ouvre à Angers

À part la discrète plaque « Providenti’elles » apposée à côté de la porte d’entrée, rien ne distingue la maison du 6, rue Saint-Léonard, à Angers (Maine-et-Loire) de ses voisines. La décoration du salon est soignée. Des éclats de rire s’échappent de la salle à manger. Autour de la table, Marie de Nanteuil, coordinatrice de la maison Providenti’elles et d’autres femmes, appelées Providenti’elles, prennent leur déjeuner.


À part la discrète plaque « Providenti’elles » apposée à côté de la porte d’entrée, rien ne distingue la maison du 6, rue Saint-Léonard, à Angers (Maine-et-Loire) de ses voisines. La décoration du salon est soignée. Des éclats de rire s’échappent de la salle à manger. Autour de la table, Marie de Nanteuil, coordinatrice de la maison Providenti’elles et d’autres femmes, appelées Providenti’elles, prennent leur déjeuner.

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Dix Providenti’elles dans la maison

Ce lieu de vie unique a ouvert lundi 18 mars à Angers, avec pour mission principale d’accueillir les femmes cherchant à (re)créer du lien social et une nouvelle dynamique dans leur vie quotidienne, voire reprendre contact avec le monde du travail. Deux autres maisons de ce type existent à Nantes (Loire-Atlantique) et La Roche-sur-Yon (Vendée).