Je m’appelle Véronique

Dans ma vie j’ai 𝗰𝗼𝗰𝗵𝗲́ 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗮𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗲𝘀 𝗼𝗯𝗷𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳𝘀 à atteindre (enfants, mari, maison, finances, travail). Pourtant, je me sens en souffrance, voire en 𝗱𝗲́𝘁𝗿𝗲𝘀𝘀𝗲..

Quand on m’a indiqué que Providenti’elles existait, je me suis d’abord dit que c’était trop beau pour être vrai.

Providenti’elles c’est “magique”.

C’est l’endroit où je recharge mes batteries. J’en ressors toujours le sourire aux lèvres, avec plus d’énergie.

Ce n’est pas un lieu de prise en charge psychologique, de coaching, c’est dit dès le départ. 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻 𝗹𝗶𝗲𝘂 𝗾𝘂𝗶 𝗹𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗮𝗿𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻. 𝗩𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀.

Quand je rentre dans la maison, je ressens tout d’abord la bonne humeur, l’énergie qui y règne. La bienveillance totale, de la part de l’équipe bien sûr, mais aussi des supers co-workeuses et des autres Providenti’elles.

Ce qui m’a énormément étonnée à mon arrivée c’est que je me suis sentie plus qu’accueillie, 𝗷’𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘀 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝘂𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗷𝗼𝗶𝗲. Comme si les membres m’attendaient MOI Véronique D.

Quelle énergie, quel sentiment de joie ! Quel bienfait (qui perdure) pour un ego malmené !

Depuis mon arrivée, à chaque annonce d’une nouvelle Providenti’elles, je me sens moi aussi réellement heureuse de SON arrivée. Tout comme les autres envers moi, je l’attends avec joie, avec ses forces et ses faiblesses.

Chez Providenti’elles, il peut n’y avoir RIEN à faire. Juste “être” comme dit ma psy. 𝗘̂𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮̀, 𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿, 𝗿𝗶𝗿𝗲 𝗼𝘂 𝗽𝗮𝘀, 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲𝗿 𝗼𝘂 𝗽𝗮𝘀.

Juste ne rien faire si je le souhaite.

Recevoir, si je le souhaite, l’écoute, 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗷𝘂𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁.

Providenti’elles, c’est comme la maison de ma sœur, ou de ma meilleure amie. Pas chez moi bien sûr mais j’y suis libre d’agir, ou de me laisser porter, rien n’est obligé.

Avec le 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗻 𝗲́𝘁𝗮𝘁 𝗱𝘂 𝗺𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁, joyeux ou triste, sans jugement, dans un cadre chaleureux et zen.

Je suis persuadée que cette maison sauve des vies, réellement!

Providenti’elles donne l’énergie de rebondir pour, un jour prochain, aller de nouveau de l’avant de façon pérenne, chacune a son rythme.

Providenti’elles c’est l’accueil, le regard chaleureux ou le sourire, le juste geste amical qui fait (vraiment) du bien. La parenthèse, 𝘂𝗻 𝗿𝗲𝗳𝘂𝗴𝗲 dont j’ai besoin pour me permettre d’avoir le 𝗰𝗼𝘂𝗿𝗮𝗴𝗲 𝗲𝘁 𝗹’𝗲́𝗻𝗲𝗿𝗴𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗼𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘃𝗶𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗷𝗲 𝘁𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲 𝗱𝗲́𝗹𝗶𝗰𝗮𝘁𝗲, 𝗱𝗶𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗹𝗲 𝗮̀ 𝘃𝗶𝘃𝗿𝗲.

Providenti’elles c’est passer du mode survie au mode “peut-être que ça va aller mieux”.

J’en suis débitrice à jamais.

Et l’équipe? Leurs attentions, leurs attitudes envers chacune de nous. Rien ne serait possible sans elles.

Merci, merci Providenti’elles d’exister.