Ce lieu dédié aux femmes, piloté par une association, a ouvert ses portes boulevard Denis-Papin, le 8 janvier dernier. Le principe : venir « sans étiquette » pour rompre son isolement.
« La vie est belle. » L’inscription cueille les visiteuses, passé le seuil du n° 10, boulevard Denis-Papin, à La Roche-sur-Yon. Ici, une « maison Provident’ielles » a ouvert ses portes le 8 janvier dernier. L’aboutissement d’un travail mené depuis plus d’un an par les deux ambassadrices vendéennes de cette association née à Nantes en 2020. Dans la préfecture de Loire-Atlantique, une première maison du genre avait ouvert en 2021, à l’initiative d’Anne Huc et Anne de Rocquigny.
Le principe : « Pouvoir accueillir à la fois des femmes qui souffrent de solitude ou qui souhaitent simplement tisser des liens », explique Clémence Gaulon, salariée de l’association et coordinatrice de la maison yonnaise. Selon une étude de la Fondation de France…
